Le Blog du Cochon Hallal *

Soutien aux habitants de Champs-sur-Marne / Support for inhabitants of Champs-sur-Marne

par Imam Grouik-Grouik
SITA FRANCERead a summary of this article in english below, blue front.

Mr Jacques BARTHELEMY, Préfet de Seine et Marne


Monsieur le Préfet,

Nous résidons à Champs sur Marne, dans le quartier de la Maréchale, et plus précisément au dessus de la mosquée salafiste (local appartenant à la SCI 29 trente arpents/association amitié Noisy-Champs).

Mme TALLET, maire de Champs, a promulgué 3 arrêtés de fermeture administrative non appliqués pour l’instant et d’ailleurs este en justice contre cette association.

Depuis le 13 juin 2007, jour du procès au TGI de Meaux, les relations avec ces voisins salafistes se dégradent.

Nous qui pensions qu’en attendant le jugement du 18 Juillet, ils feraient profil bas et essaieraient de passer inaperçus il n’en est rien bien au contraire.
Désormais, ils ouvrent les fenêtres et prient devant nos yeux.
Ils se rechaussent à l’extérieur sur des parties communes de la Résidence.
Ils affluent de toute part, en nombre croissant en paradant dans leur tenue.

Veulent-ils nous montrer que les lois de la République ne comptent pas pour eux, que, nous mécréants, sommes quantité et qualité insignifiante ?

Comme dit Tariq Ramadam : dans musulmans français, il y a musulman qui est une conception de la vie, français est une situation géographique et la conception de la vie va au delà de la situation géographique.

La charia n’est que leur seule ligne de conduite et leur logique islamiste est étrangère à notre conception, laïque, démocratique et républicaine.

Pour la population du quartier, cette attitude ostentatoire et provocatrice devient de plus en plus pesante et terriblement difficile à supporter.

Les personnes âgées, qui vivent ici, se sentent harcelées par des va-et-vients incessants et un sentiment d’exaspération va croissant. La proximité des week-ends rend les habitants du quartier stressés voire irascibles.

Si une telle situation perdure, certains d’entre nous vont perdre leur calme et des actes irréparables seront commis.

Ce que nous craignons c’est que même si le jugement rendu leur est défavorable, ils restent là envers et contre tout.

N’oublions pas que ces personnes viennent de Noisy-le Grand où ils ont été expulsés par les CRS, vous, Mr le Préfet, représentant de l’Etat Français , serez obligé d’employer les grands moyens.

Il est urgent, Mr le Préfet que vous preniez conscience que dans votre département, il existe une zone de non-dit où la moindre étincelle se transformera en incendie.

Veuillez, agréez Monsieur le Préfet, l’expression de ma parfaite considération.

Par l'UFAL de Champs-sur-Marne, publié sur le site de la Gauche Républicaine, Respublica.

This open letter is written by the UFAL (an association who prevents against the dangers of religions, politically left-wing affiliated) for the prefect of Seine-et-Marne (french departement (county) 30 km east of Paris). It depicts the living of Champs-sur-Marne residents since a salafi mosque settled in the neighbourhood. In this quiet district, muslims with "Bin Laden beard and clothees" open the door of the mosque and pray in front of people eyes, put on their shoes on the pavement ahead the entry, come more and more plentiful parading in the streets. Charia is their only law and they don't care about what the neighrours can think about their way of life.

Madame Tullet, Mayor of Champs-sur-Marne, wrote three decisions of evacuation, but salafis are still here. Before coming in Champs, they had been ejected by police from another city, Noisy-le-Grand.

The mayor of Champs has to go in justice to be allowed to evacuate them now. A trial took place on July 13th and the judgement is to be on July 18th. Since the trial situation is and waiting for the decision, the letter describes the situation as worse than ever.

Old people feel insecured and exasperation and is growing among the inhabitants. If the prefect doesn't act - he can send police force to evacuate the muslims - the author is afraid that irremediable acts are to be done by anger people.

End of the letter :

"Prefect, it's an emergency, that you understand there are aeras in your departement where law is not implemented."